We are #LittleFrenchTech. Ces trois petits mots ont fait le buzz dans la soirée du jeudi 22 janvier 2015. Automatiquement tweetés par la très sollicitée Boîte à Selfie, ils s’affichaient sur le mur de tweets de l’apéro Little French Tech des Suds.

Objectif assumé des organisateurs : réunir les acteurs du numérique du sud de la France. Startups, entrepreneurs, petits et grands, de Toulon à Marseille en passant par Aix-en-Provence et Montpellier, c’était 220 personnes (selon les organisateurs. Nous n’avons pas encore le chiffre de la police !) qui se trouvaient réunis ce soir-là dans le superbe cadre des Lofts du Vieux-Port.

Sur scène, Virginie Galindo, Laurence Bricteux, Roch Giraud, Hervé Bourdon, Antoine Guyon, Florent Hernandez et Loïc Lemay ouvrent le bal, nous invitant à parler avec toutes les personnes qu’on ne connait pas encore.

Dès le début, l’ambiance est chaleureuse. Les groupes se forment autour d’un (un seul ? Vraiment ?) verre. On échange ses cartes de visites, on pitche son activité (un exercice pas si simple à mettre en oeuvre mais tellement gratifiant lorsque l’on sent que le message passe). Le networking intensif est de mise.

Du networking certes, mais du networking décomplexé : pour ne pas laisser les convives sur leur faim, les organisateurs ont prévu un buffet, un bar et des coupes remplies de bonbons.

Qui dit numérique dit réseaux sociaux. Le mur de tweets a bien performé durant la soirée, prouvant qu’en 2015, l’entrepreneur est avant tout un communiquant. On y voyait défiler les invitations à venir à la rencontre des personnes présentant leur projet, mais aussi quelques propositions d’emploi, et bien sûr les incontournables tweets postés par la Boîte à Selfie.

Cette fameuse boîte fût la reine de la fête : prenant la pose devant l’objectif de ce drôle de monolithe, de nombreux « frenchtech-eurs » ont ainsi emporté avec eux un souvenir de la soirée.

Au final, ce fût une soirée très enrichissante et une occasion unique de rencontrer en quelques heures des dizaines de personnes amenées, je l’espère, à devenir des acteurs majeurs du numérique.